Jeunes conducteurs : Comment trouver une assurance auto abordable en ligne

Jeunes conducteurs

Réduisez le coût de votre assurance en tant que jeune conducteur. Découvrez comment gérer le risque, choisir le bon véhicule, et la meilleure formule Lorsque l’on est un jeune conducteur, ayant obtenu son permis de conduire depuis moins de 3 ans, le sentiment de liberté procuré par le fait de prendre le volant est souvent contrebalancé par une réalité nettement moins agréable, celle du coût élevé de l’assurance voiture. De fait, aux yeux des assureurs, les conducteurs « novices » présentent des profils dits « à risque », selon les statistiques, du simple fait de leur manque d’expérience au volant. Puisqu’ils sont davantage susceptibles d’avoir des accidents de voiture, et puisque la prime dépend de la sinistralité, ces jeunes automobilistes pâtissent d’assurance auto nettement plus chères. Toutefois, il reste possible de faire baisser significativement le montant de la facture, et dans le cadre de cet article, nous allons justement vous expliquer comment procéder pour qu’un jeune conducteur obtienne une prime abordable pour son assurance en ligne.

La clef de voûte d’une assurance moins chère : démontrez votre prudence !

Ainsi que nous l’évoquions dans l’introduction, les automobilistes novices ont un taux de sinistralité plus élevé que leurs aînés, si bien que l’assureur se doit d’anticiper le fait qu’il va devoir régler des indemnités notables dans les trois ans suivant l’obtention du permis de son client. C’est ce que l’on appelle la gestion du risque, et ce sujet reste évidemment au cœur du fonctionnement d’une assurance auto, entraînant pour conséquence une surprime dont le jeune conducteur devra s’acquitter. Et cela vaut aussi bien pour les contrats souscrits directement en agence que dans le cadre d'une assurance auto en ligne, comme celle que l'on peut trouver sur le site credit-du-nord.fr, par exemple. Pour autant, être novice ne signifie pas nécessairement faire preuve d’imprudence – et fort heureusement, d’ailleurs, car sinon, le nombre de sinistres serait encore plus important chez les jeunes. L’historique de conduite joue systématiquement un rôle crucial dans la détermination du montant qu’un conducteur devra payer à son assurance, et c’est tout particulièrement vrai pendant les premières années sur la route. Ainsi, il est absolument crucial qu’un jeune conducteur soit particulièrement vigilant et respectueux des règles du code de la route, car dès la fin de la première année de permis, puis de la seconde, il lui sera possible de négocier sa prime à la baisse. En outre, si le jeune en question a bénéficié de la conduite accompagnée ou supervisée, il ne faut surtout pas hésiter à en faire part à l’assureur, car ces formules d’apprentissage sont évidemment de nature à le rassurer ; dit autrement, plus un jeune conducteur aura d’expérience au volant, et plus le montant de sa surprime sera abaissé.

Sachez choisir « le » bon véhicule …

Soyons clairs, il n’y a pas un seul et unique modèle de voiture vers lequel orienter tous les jeunes conducteurs, mais il existe un profil-idéal pour ce véhicule, en particulier si l’on est dans l’optique de bénéficier de la prime la plus faible possible. Il convient tout d’abord de faire l’acquisition d’un véhicule d’occasion, car les modèles neufs impliqueraient à l’assurance un remboursement beaucoup plus important, et donc, en toute logique, une surprime conséquente. Dans la même logique, optez pour un modèle de faible puissance, et idéalement une carrosserie de berline ou de break, voire de monospace. En effet, les véhicules puissants, et/ou ceux appartenant à la catégorie des coupés (ou cabriolets) présentent indéniablement davantage de risques, du point de vue des assureurs, dans la mesure où ces véhicules « poussent au vice », en quelque sorte. Si vous êtes un jeune conducteur aficionado de la conduite et que vous rêvez d’une supercar, prenez votre mal en patience, et grimpez les échelons progressivement. Un assureur qui verra votre progression – de 70ch à 100, puis 140, puis 200, puis 250, puis 350ch, etc. – sans accident, ni écart de conduite, et qui constatera votre fidélité, n’aura aucun mal à vous accepter une voiture surpuissante dans une dizaine d’années. Last but not least, soyez également vigilant à la fiabilité du modèle que vous choisissez. Inévitablement, plus vous solliciterez votre assureur pour des pannes, et plus celui-ci pourra légitimement vous facturer une surprime significative.

… et optez pour « la » bonne formule

Là encore, nous ne sommes pas en train de vous dire qu’il y aurait un contrat-type idéal pour les jeunes conducteurs, mais plutôt qu’il est essentiel de bien choisir le bon niveau de couverture, quitte à accepter une augmentation du tarif de la franchise, en contrepartie d’une réduction de la prime. Soulignons également que nombreuses sont les compagnies d’assurance à proposer des remises à leurs clients lorsqu’ils regroupent plusieurs polices d’assurance, en combinant le plus souvent une assurance pour leur auto et une assurance habitation, par exemple. Pour en revenir à la formule d’assurance voiture à adopter, rappelons que la couverture légale minimale est celle d’un contrat « au tiers », se limitant à la responsabilité civile, et qu’il y a généralement des étapes intermédiaires jusqu’à la couverture « tous risques » intégrale. In fine, tout dépendra de la valeur de votre véhicule, de votre propre aversion ou acceptation du risque, et du budget disponible bien sûr, étant entendu que sur un véhicule ancien, plus côté à l’Argus, et avec un jeune conducteur responsable au volant, la formule au tiers peut suffire dans la très grande majorité des cas.

En tout état de cause, si vous êtes un jeune conducteur qui souhaite souscrire son premier contrat d’assurance voiture, prenez le temps de bien considérer les garanties apportées par ledit document, et évitez de souscrire des options dont vous n’auriez pas l’utilité. Mentionnons également la possibilité offerte par certains organismes de s’assurer en tant que conducteur secondaire (avec, par exemple, l’un de ses parents en conducteur principal) pour éviter la surprime, dans la mesure où le jeune conducteur ne circulera qu’occasionnellement au volant du véhicule en question. Autre possibilité, qui revient peu ou prou au même résultat : s’assurer au kilomètre parcouru, ce qui représente un moyen simple et abordable de faire des économies pour un automobiliste novice qui n’utilisera pas quotidiennement sa voiture. En guise de conclusion, soulignons qu’il est évidemment recommandable de comparer les différentes propositions qui s’offriront à vous, mais en gardant à l’esprit qu’il ne faut pas « mélanger les pommes avec les oranges ». Autrement dit, prenez soin de comparer ce qui peut l’être, avec des garanties et franchises équivalentes, et en ayant conscience que, comme vous l’avons dit précédemment, regrouper ces divers contrats chez un seul et même assureur peut permettre de faire baisser la facture globale de manière notable.


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